26 juin 2017
Pour tuer il faut être déjà mort.
L’assassinat, comme acte banal, s’installe dans une presque-indifférence. Les pleurs d’une mère alimentent les réseaux sociaux et les courbes de l’audimat. Mais ils ne provoquent pas une réaction en chaîne. Nous sommes dégoutés, mais, frileux, repliés...